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CINÉMA DU RÉEL 2022

Cinéma du réel : le documentaire dans son écrin parisien

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- Après deux années d’adaptation contrainte par la pandémie, la 44e édition du festival international du film documentaire retrouve ses salles et son public du 11 au 20 mars

Cinéma du réel : le documentaire dans son écrin parisien
Mr. Landsbergis de Sergueï Loznitsa

Pré-ouvert hier soir par En nous de Régis Sauder, le 44e Festival international du film documentaire Cinéma du réel entre aujourd’hui dans le vif du sujet et déroulera du 11 au 20 mars un programme très relevé concocté par Catherine Bizern, dans la joie de retrouver sa dimension physique (et son cœur parisien de festival, le centre Pompidou) après deux années d’acrobatiques adaptations à distance et en ligne.

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Au menu de la Sélection Internationale pointent 20 films (dont 10 longs métrages). Se distinguent notamment Mr. Landsbergis [+lire aussi :
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de l’Ukrainien Sergueï Loznitsa (couronné à l’IDFA) et quatre titres arrivant en droite ligne de la récente Berlinale avec Mutzenbacher [+lire aussi :
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interview : Ruth Beckermann
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de l’Autrichienne Ruth Beckermann (vainqueur de la compétition Encounters), Nous, étudiants [+lire aussi :
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de Rafiki Fariala (coproduction française dévoilée au Panorama) et deux découvertes du Forum : Afterwater [+lire aussi :
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du Serbe Dane Komljen et la coproduction brésilo-portugaise Dry Ground Burning [+lire aussi :
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du duo Joana Pimenta - Adirley Queirós (coproduction associant le Brésil et le Portugal). Les autres longs en lice sont deux productions majoritaires canadiennes (signés par Daphne Xu et par le duo Ryan Ermacora - Jessica Johnson), un argentin (réalisé par Jonathan Perel), un australien (David Easteal) et un américain (James Benning).

Du côté de la Sélection française, 21 films seront présentés en première mondiale, dont 9 longs métrages : Relaxe [+lire aussi :
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d’Audrey Ginestet, Ceux de la nuit de Sarah Leonor, Boum Boum [+lire aussi :
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de Laurie Lassalle, Le chant des oubliés de Luc Decaster, La lumière des rêves de Marie-Pierre Brêtas, Nachtlied de Baptiste Pinteaux, Navigators de Noah Teichner, et deux coproductions franco-allemandes (Les voix croisées du duo Raphaël Grisey - Bouba Touré et Les lettres de Didier de Noëlle Pujol).

Au rayon des séances spéciales brillent l’Ours d’argent berlinois Everything Will Be OK [+lire aussi :
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interview : Rithy Panh
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de Rithy Panh, deux autres titres passés par le festival allemand (Journal d’Amérique [+lire aussi :
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interview : Arnaud des Pallières
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d’Arnaud des Pallières et Rewind & Play [+lire aussi :
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interview : Alain Gomis
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d’Alain Gomis), mais également Édouard Louis, ou la transformation de François Caillat, L‘hypothèse démocratique – Une histoire basque de Thomas Lacoste, la production belge Prisme de Rosine Mbakam, le triptyque Zorn de Mathieu Amalric et Qui à part nous [+lire aussi :
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interview : Jonás Trueba
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de l’Espagnol Jonás Trueba (prix FIPRESCI à San Sebastián – sortie France le 20 avril via Arizona Distribution).

A signaler également un zoom sur l’Afrique documentaire, les courts métrages du programme Première Fenêtre et la traditionnelle section Front(s) Populaire(s), le tout sans oublier le volet professionnel ParisDOC. Ce dernier proposera mardi 15 mars des tables-rondes (explorant entre autres la visibilité des oeuvres ou encore le binôme auteur-producteur), les Rendez-vous Européens du documentaire de patrimoine le 18 mars, mais aussi un Work in Progress du 15 au 17 mars avec 9 longs-métrages au menu dont Navire Europe de Marina Deak, Ciompi [+lire aussi :
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 d’Agnès Perrais, De part et d’autre de Matthieu Chatellier, Otro Sol de Francisco Rodriguez Teare (qui associe la France, la Belgique et le Chili) et Río Rojo de Guillermo Quintero (produit par la Colombie et la France).

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