20/02/2017 - L’événement prend de l’ampleur, avec plus de 80 films au programme dont plusieurs présentés en avant-première internationale, un hommage à Ray Liotta et un Pavillon réalité virtuelle

Le Festival du film de Luxembourg Ville revient du 2 au 12 mars pour une septième édition qui va accueillir plusieurs avant-premières internationales, et des activités et événements parallèles. L’ouverture et la clôture seront assurées par des films américains : Denial [+lire aussi :
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fiche film] de Mick Jackson (coproduit au Royaume-Uni) et le nouveau Terrence Malick, Song to Song. Entre ces deux séances de gala, près de 80 films sont au programme, notamment des films européens comme celui qui a récemment fait l’ouverture du Festival de Berlin : Django [+lire aussi :
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Q&A : Etienne Comar
fiche film] d’Étienne Comar, avec Reda Kateb dans le rôle du légendaire inventeur du jazz manouche Django Reinhardt. Ce titre sera projeté le soir de la remise des prix, le 10 mars, soit deux jours avant la clôture officielle.

Dix films sont en compétition cette année, dont cinq coproductions européennes. On peut citer d’abord la comédie dramatique gréco-bulgare Glory [+lire aussi :
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interview : Petar Valchanov
interview : Petar Valchanov, Kristina …
fiche film] de Kristina Grozeva et Petar Valchanov, sur un employé des chemins de fer témoin d’une affaire de corruption doit se battre pour sa dignité. Le public du Grand Duché pourra aussi découvrir Grave [+lire aussi :
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interview : Julia Ducournau
fiche film] de Julia Ducournau,couronné par un FIPRESCI à Cannes après son avant-première à la Semaine de la critique et salué à nombre d’autres festivals internationaux, ainsi que House of Others [+lire aussi :
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interview : Rusudan Glurjidze
interview : Salome Demuria
fiche film] de Rusudan Glurjidze (Géorgie/Espagne/Russie/Croatie), Sámi Blood [+lire aussi :
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interview : Amanda Kernell
interview : Lars Lindstrom
fiche film] d’Amanda Kernell (Suède/Norvège/Danemark) et L’Autre côté de l’espoir [+lire aussi :
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Q&A : Aki Kaurismäki
fiche film] (Finlande/Allemagne). Ces cinq films européens disputeront le Grand Prix (et ses 10 000 euros) à I Am Not Madame Bovary de Feng Xiaogang (Chine), Nelly d’Anne Émond (Canada) et trois titres américains : Dark Night de Tim Sutton, Transpecos de Greg Kwedaret The Lost City of Z de James Gray.

Dans le cadre de la compétition documentaires, les prétendants aux 5000 euros du prix sont au nombre de six : Je ne suis pas votre nègre [+lire aussi :
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fiche film] de Raoul Peck (France/États-Unis), sur l’écrivain américain James Baldwin, Machines [+lire aussi :
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fiche film] de Rahul Jain (Inde/Allemagne/Finlande), Rat Film de Theo Anthony (États-Unis), The Good Postman [+lire aussi :
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fiche film] de Tonislav Hristov (Bulgarie/Finlande), Tower de Keith Maitland (États-Unis) et Tutti a Casa – Power to the People? [+lire aussi :
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fiche film] de Lise Birk Pedersen (Danemark/Norvège/Italie).

Plusieurs coproductions luxembourgeoises sont au programme, notamment le moyen-métrage MappaMundi [+lire aussi :
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fiche film] de Bady Minck, projeté au récent Festival de Sundance, Barrage [+lire aussi :
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interview : Laura Schroeder
fiche film] de Laura Schroeder, un film interprété par Isabelle Huppert qui vient d’être dévoilé dans la section Forum de Berlin, le film d’animation Ethel and Ernest [+lire aussi :
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fiche film] de Roger Mainwood, Fils de Cyrus Neshvad, ou encore The Past We Live In de Jérôme Weber.

Le festival proposera aussi un Pavilion Réalité virtuelle (abrégé en VR en anglais), sous la grande verrière du Casino. Des experts seront présents pour permettre au public de découvrir gratuitement une douzaine de contenus à travers différents appareils (VR1 d’Orange, Oculus Rift, HTC Vive). Des discussions seront organisées au pavillon, dont une sur le financement et la promotion des créations en réalité virtuelle.

Parmi les autres propositions à mentionner figure l’hommage dédié à Ray Liotta, qui comprend une masterclasse de l’acteur américain à la Cinemathèque, et une rencontre littéraire avec Douglas Kennedy, qui présentera le classique Assurance sur la mort de Billy Wilder.

Le festival, soutenu par le Ministère de la Culture et la Ville de Luxembourg, s’est construit en six ans une solide réputation. L’année dernière, il a accueilli plus de 20 000 spectateurs.

(Traduit de l'anglais)