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FESTIVALS Allemagne / pays nordiques / pays baltes

180 films du nord et de la Baltique débarquent à Lübeck

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- En compétition, le Danemark est représenté par cinq films, et l'Islande trois

180 films du nord et de la Baltique débarquent à Lübeck
The Girl King de Mika Kaurismäki

Du 4 au 8 novembre, les 57èmes Journées du cinéma nordique de Lübeck (le plus grand festival dédié au cinéma des pays nordiques et baltes en dehors de la Scandinavie) vont présenter 180 titres, dont 16 dans la section compétition, dominée par le cinéma danois (5 films) et le cinéma islandais (3).

Le réalisateur islandais Grímur Hákonarson viendra, accompagné de ses acteurs Sigurdur Sigurjónsson et Theódór Júlíusson, pour présenter le film d'ouverture, Béliers [+lire aussi :
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interview : Grimur Hakonarson
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, dont la victoire dans la section Un Certain Regard de Cannes n'a été que la première d'une longue série. En compétition, le public pourra aussi découvrir Virgin Mountain [+lire aussi :
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de son compatriote Dagur Kári, qui a remporté il y a quelques jours le Prix de cinéma du Conseil nordique (lire l'article). L'acteur du film, Gunnar Jónsson, sera présent à Lübeck.

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L'acteur danois Søren Malling accompagnera non pas un, mais deux films : A War [+lire aussi :
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interview : Tobias Lindholm
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de Tobias Lindholm et The Idealist [+lire aussi :
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de Christina Rosendahl, qui sera présente. Trois films du Finlandais Mika Kaurismäki sont au programme : son dernier en date, The Girl King [+lire aussi :
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, dans la section Séances spéciales, et The Worthless (1982) ainsi que Rosso (1985) dans le volet Rétrospective.

“Ce qui est intéressant cette année, c'est le nombre de coproductions que nous accueillons", souligne la directrice artistique des Journées, Linde Fröhlich. Trois films de la compétition principale ont par exemple été coproduits avec l'Allemagne : Land of Mine [+lire aussi :
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interview : Louis Hofmann
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de Martin Zandvliet, The Disappearing Illusionist [+lire aussi :
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interview : Bobbie Peers
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de Bobbie Peers et The Fencer [+lire aussi :
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interview : Ivo Felt
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de Klaus Härö.

Dans la section Séances spéciales, le public pourra également voir Armi Alive! [+lire aussi :
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interview : Jörn Donner
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du Finlandais Jörn Donner (sur le créateur de Marimekko, Armi Ratia), la comédie norvégienne Here Is Harold [+lire aussi :
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interview : Gunnar Vikene
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de Gunnar Vikene, dont le personnage principal a une dent contre le fondateur d'Ikea, Ingvar Kamprad, et Louder Than Bombs [+lire aussi :
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interview : Joachim Trier
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de Joachim Trier, qui a ramené cette année la Norvège en compétition à Cannes après 36 ans d'absence. 

Un autre film norvégien qui se trouve être le premier film-catastrophe jamais produit en Scandinavie et vient de trouver un distributeur aux États-Unis, The Wave [+lire aussi :
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de Roar Uthaug, est au programme. Dans les autres sections, on trouve notamment Silent Heart [+lire aussi :
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de Bille August (avec Ghita Nørby dans le rôle d'une mère de famille atteinte d'une maladie terminale) et le premier long-métrage de Daniel Dencik, Gold Coast [+lire aussi :
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, qui explore l'implication du Danemark dans le commerce des esclaves en Afrique de l'Ouest. 

Le réalisateur danois Christian Braad Thomsen viendra en personne présenter le documentaire Fassbinder – To Love without Demands, sur son ami et collègue le cinéaste culte Rainer Werner Fassbinder. Dans la section dédiée au cinéma du réel, on trouve aussi deux films suédois qui se penchent sur la crise actuelle des réfugiés : Nice People de Patrik Andersson et I Am Dublin de David Aronowitsch, Ahmed Abdullahi, Anna Persson et Sharmarke Binyusuf.

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(Traduit de l'anglais)

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